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12 octobre
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Syméon


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Syméon le Nouveau Théologien (1)

 

 

Parmi les astres qui brillent innombrables dans le firmament spirituel de l’Eglise, trois seulement ont été jugés dignes du titre de Théologiens(2) : Saint Jean l’Evangéliste, le Disciple Bien-Aimé, qui, en se penchant sur la poitrine du Seigneur, y a puisé l’Eau vive de la connaissance du Verbe de Dieu (cf. 26 sept.) ; saint Grégoire de Nazianze (cf. 25 janv.) qui, après avoir contemplé d’un oeil intérieur purifié, le mystère de la Sainte Trinité, l’a proclamé en mettant à son service le meilleur de l’éloquence hellénique ; et enfin saint Syméon le Nouveau Théologien qui, après avoir été plongé dans la lumière de l’Esprit Saint, fut envoyé par Dieu, tel un nouveau prophète, dans une société byzantine bien nantie, au christianisme formaliste et officiel, pour y témoigner que tout chrétien digne de ce nom est appelé à être lui aussi illuminé, et à devenir fils de Dieu dans le Saint-Esprit.

Né en 949 à Galatée, en Paphlagonie (Asie Mineure), au sein d’une famille de la noblesse aisée et influente dans les milieux politiques, saint Syméon fut envoyé à l’âge de douze ans à Constantinople pour y poursuivre ses études, en vue d’entrer ensuite au service de l’empereur. Renonçant à cette carrière prometteuse et abandonnant ses études, il mena pendant quelque temps une vie frivole. Mais le Seigneur l’ayant pris en pitié, ne le laissa pas glisser vers la corruption, et Il le tira de ce précipice par l’entremise de lectures spirituelles. Le jeune garçon se mit alors à la recherche d’un saint homme capable de le guider sur le chemin du Salut, malgré les paroles décourageantes de son entourage qui lui assurait qu’un tel saint n’existait pas à cette époque.

Persévérant néanmoins dans sa recherche, il découvrit ce père spirituel en la personne d’un moine qui vivait en reclus au monastère du Studion, Syméon le Pieux (*). Celui-ci refusa de le recevoir comme moine et se contenta de lui donner à lire le livre de saint Marc l’Ascète (cf. 5 mars). Aussitôt qu’il l’ouvrit, il tomba sur la phrase suivante: « Si tu cherches la guérison, prends soin de ta conscience, et fais tout ce qu’elle te dictera, et tu trouveras du profit »(3). Recevant cette parole comme un oracle divin, il se mit aussitôt à l’œuvre et suivit sa conscience qui l’exhortait à se sacrifier par amour du Christ, en prolongeant chaque jour davantage ses jeûnes et ses veilles, jusqu’au chant du coq. Ainsi emporté sur les ailes d’un saint désir, il ne tarda pas à recevoir le premier témoignage de la faveur de Dieu en une merveilleuse vision de la lumière incréée, qui le transporta comme en-dehors du monde et de son propre corps. Rempli d’une grande joie et baigné de chaudes larmes, il ne cessait de crier, sans se lasser, le Kyrie eleison et, au cœur de cette lumière, il vit alors son père spirituel Syméon qui se tenait à la droite d’une nuée lumineuse et lui enseignait l’art de la prière sans distraction.

Toutefois, cette première expérience de la gloire de Dieu n’ayant pas été fondée sur les assises de l’impassibilité, il retomba peu à peu dans la tiédeur et le relâchement, dont il se repentira par la suite devant Dieu comme d’un grand péché. Pendant six ou sept ans, il continua d’entretenir des relations avec son père spirituel, mais sans s’arracher au monde et à ses vanités(4). Le Seigneur eut néanmoins à nouveau compassion de son élu et, le « prenant par les cheveux », il l’arracha à la fange de ce monde pour l’établir devant Sa face.

Profitant d’une mission dans son pays natal, il régla ses affaires, dit adieu à ses parents, et revint en hâte à la capitale pour se confier entièrement à son père selon Dieu, avec une confiance sereine et une totale obéissance. On lui assigna comme cellule un petit réduit sous l’escalier de la cellule de Syméon, où il s’appliquait à méditer sur ses péchés et à faire de la sainte componction, qu’il avait acquise dans le monde en fréquentant les tombeaux, un état permanent et stable de son âme. Il accomplissait les services les plus avilissants dans un parfait retranchement de sa volonté propre, regardant son père spirituel comme le Christ Lui-même et baisant avec dévotion tout endroit où il s’était tenu en prière, comme si c’était le Saint des saints. Ainsi protégé par sa prière, il pouvait repousser sans crainte les assauts des démons de la peur, de la paresse, de l’impureté et de l’envie, qui s’acharnaient contre lui afin de le décourager.

Etranger à tous et gardant un constant silence, il se tenait debout pendant les offices liturgiques, le regard à terre, en versant d’abondantes larmes à l’audition des textes sacrés. Certains moines s’irritèrent pourtant des rapides progrès de ce novice, qu’ils considéraient comme une condamnation de leur propre tiédeur, et ils l’accusèrent auprès de l’higoumène, d’entretenir des relations trop étroites avec son père spirituel. Comme il avait eu recours à la prière de ce dernier pour être fortifié dans cette épreuve, celui-ci lui assura qu’il recevrait bientôt d’en haut une grâce deux fois plus grande que la sienne. De ce fait, sitôt rentré dans sa cellule ce soir-là, une lumière céleste vint s’emparer de son intellect pour le ravir dans la joie indescriptible de l’amour divin et, bien qu’il fût peu instruit, Dieu lui accorda dès lors une telle sagesse que tous ses compagnons s’en étonnaient. Mais de tels dons surnaturels ravivèrent la haine des envieux, et ceux-ci parvinrent à le faire chasser du Studion.

Il entra alors comme novice dans le petit monastère de Saint-Mamas, tout en gardant Syméon le Pieux comme père spirituel. Tonsuré moine par lui et ayant reçu le nom de Syméon, il entreprit de nouvelles ascensions spirituelles, en se consacrant complètement à la quiétude, à la prière et à la méditation des divines Ecritures, et en ne nourrissant son corps que de quelques herbes. Sa cellule, d’où il ne sortait que pour assister aux offices divins, était une véritable fournaise ardente, dans laquelle il se plongeait tout entier pour y être transformé en une pure flamme d’amour et d’où le Seigneur le ravissait fréquemment en de sublimes extases.

Dans un de ses plus beaux discours(5), Syméon se compare à un malheureux qui, après être tombé dans un gouffre rempli de boue, en a été tiré de force par le Seigneur miséricordieux et qui, à travers maintes enbûches et difficultés, a été conduit par la main de son père spirituel vers les sources d’eaux, afin de s’y laver et de s’y purifier, et d’aveugle devenir voyant des choses spirituelles. En effet, dans la mesure où se purifiait son regard intérieur, il était gratifié de visions lumineuses de plus en plus claires. D’une lumière semblable à un soleil sans forme, qu’il voyait briller au-dessus des cieux et qui lui ôta le voile de l’insensibilité, il vit peu à peu le visage du Christ se distinguer plus nettement et fut finalement emporté hors de son corps, dans une extase ineffable, au cours de laquelle le Christ lui parla en l’appelant son frère et son ami. Mais ce ne fut qu’après de nombreuses autres visions que, tombant un jour en larmes pour vénérer une icône de la Mère de Dieu, il comprit qu’il possédait consciemment, au-dedans de son cœur, cet Amour en personne (hypostasié) qu’est le Seigneur.

Au bout de deux ans, l’higoumène, constatant ses admirables progrès, le fit ordonner prêtre. Le jour de son ordination, le Saint-Esprit descendit comme une lumière simple et sans forme pour couvrir le sacrifice et pendant tout le reste de sa vie sacerdotale, il ne célébrait jamais la Liturgie sans avoir une telle vision. Entouré d’une nuée lumineuse, son visage prenait alors une expression angélique, et nul ne pouvait le fixer du regard quand il bénissait le peuple.

L’higoumène étant mort un an à peine après son ordination, Syméon fut élu supérieur par les moines de Saint-Mamas, avec l’approbation du patriarche Nicolas Chrysobergès (vers 980). Héritant d’un monastère qui avait été réduit à servir de cimetière pour les séculiers et où la vie monastique était fort relâchée, il entreprit de faire reconstruire tous les bâtiments, excepté l’église, et, tâche autrement plus difficile, d’entraîner ses disciples à le suivre dans son ardente recherche de Dieu.

Comme la tradition de saint Théodore Studite (cf. 11 nov.) le prescrivait, il prononçait trois fois par semaine des catéchèses enflammées, pour réveiller l’ardeur de ses moines. Il ne se contentait pas d’y rappeler les principes de la vie cénobitique mais, tel « un pauvre rempli d’amour fraternel » qui, après avoir reçu une obole, court avec joie pour la montrer à ses compagnons de misère, en les exhortant à s’empresser eux aussi pour profiter de la générosité de son bienfaiteur, Syméon leur dévoilait les merveilles accomplies en lui par Dieu et leur affirmait avec force que c’est dès cette vie qu’il nous faut tous parvenir à la vision du Royaume des Cieux. C’est ce profond désir de faire participer ses frères à la grâce reçue qui explique le caractère de confidences personnelles de ses écrits, si rare dans la littérature patristique.

Ce « zèle indomptable » dont Syméon faisait preuve, entraîna l’opposition et les remarques ironiques de certains de ses moines qui auraient préféré une vie religieuse plus confortable et qui le condamnaient comme vantard. Les résistances allèrent croissant, jusqu’au jour où une trentaine d’entre eux se révoltèrent contre lui et l’interrompirent violemment au cours d’une de ses catéchèses, en se ruant sur lui comme des bêtes sauvages avec l’intention de le jeter en dehors du monastère. Restant immobile, souriant et serein devant ses adversaires, Syméon les arrêta dans leur élan, et ils s’enfuirent de l’église dans un grand tapage pour aller porter plainte auprès du patriarche Sisinnios (995-998). Ce dernier examinant l’affaire, justifia entièrement le saint et fit exiler les moines révoltés. Mais l’amour paternel de Syméon ne laissa pas les brebis se perdre hors de son bercail. Il fit abroger la sentence et alla lui-même à la recherche de chacun des rebelles, leur demandant pardon et les suppliant de regagner le monastère.

La paix revenue après ces tristes événements, il reprit la direction de son monastère qui devint bientôt un des hauts lieux spirituels de la capitale, attirant des pieux laïques en grand nombre et des disciples venus de loin. Malgré ses charges pastorales, Syméon ne se distrayait pas de son labeur ascétique et, trois fois par jour, à heures fixes, il se retirait dans sa cellule pour en baigner le sol de ses larmes. Les larmes étaient en effet devenues pour lui une seconde nature et elles avaient fait épanouir, comme des fleurs délicates, la charité, la compassion envers tous, la patience dans les épreuves et un aspect attirant et gracieux de son visage illuminé par la joie intérieure de l’Esprit.

A la suite d’une nouvelle vision lumineuse, il avait reçu le charisme de la théologie et, quand il n’était pas ravi en extase, il passait ses nuits à composer d’admirables Hymnes à l’amour divin, qui restent un des plus précieux témoignages des effets de la Grâce dans l’âme d’un saint. La diffusion de ses écrits et de ses enseignements, permit à de nombreuses âmes de retrouver la ferveur de l’époque des saints Pères et prépara de loin le triomphe de l’Hésychasme comme doctrine de l’Eglise Orthodoxe.

En 1005, pressé par son amour de Dieu, Syméon démissionna librement de sa charge, après un higouménat de vingt-cinq ans, et laissa son disciple Arsène, qu’il avait longuement éprouvé dans l’obéissance, pour lui succéder. Quant à lui, il se retira dans une cellule isolée, afin de s’adonner à la sainte hésychia, et de soutenir par sa prière, tel Moïse sur la montagne (cf. Exode 17, 11), les combats de ses moines. Devenu par l’habitude de la contemplation, familier des spectacles divins, il fut alors initié à la connaissance des événements futurs et de l’état ultime de la création. Une nuit, il fut transporté dans la lumière qui pénétra tous les membres de son corps et le rendit entier feu et lumière, et il entendit une voix d’en haut lui annoncer que cette gloire qui le transfigurait, était celle-là même qui sera réservée aux élus lors de la résurrection générale. C’est ainsi, possédé par l’Esprit Saint et devenu dieu par la Grâce, qu’il rédigeait ses traités théologiques et mystiques.

Mais, bien qu’il eût atteint la perfection, il devait encore être éprouvé par de nouvelles tribulations. Depuis le repos de son père spirituel, Syméon le Studite(*), il avait fait peindre son icône et avait rédigé en son honneur un office liturgique qu’il faisait célébrer solennellement chaque année, au jour de la mémoire de cet homme apostolique(*), dans un grand concours de fidèles venus de toutes parts (6). Cette coutume était déjà pratiquée depuis plus de seize ans lorsqu’Etienne, l’ancien métropolite de Nicomédie devenu syncelle du patriarche, homme d’une grande science et d’une influence considérable dans les milieux officiels, ayant pris ombrage de la renommée acquise par saint Syméon dans toute la ville, comme homme de Dieu et théologien des dogmes de l’Esprit, chercha une occasion pour le discréditer. Il le provoqua d’abord par une subtile question théologique, mais il reçut du Saint une éblouissante réponse en vers, dans laquelle il rappelait au syncelle que ce n’est que par l’expérience de l’Esprit qu’on peut vraiment parler de théologie. Cette réponse déclencha la haine implacable de l’évêque qui répandit d’odieuses calomnies contre Syméon, en l’accusant d’honorer comme un saint un homme pécheur. Finalement, à force d’intrigues, Etienne parvint à faire condamner l’homme de Dieu à l’exil (1009).

Laissé seul, en plein hiver, sur une colline déserte de la région de Chrysopolis (Propontide), Syméon rendit grâce à Dieu et envoya une lettre de remerciements au syncelle pour les épreuves qu’il lui avait procurées. En recevant cette missive, Etienne, au comble de la rage, fit perquisisionner la cellule de celui-ci qui, dépouillé de tout, « trouvait lourd à porter le fardeau même de le chair », en le soupçonnant d’y avoir caché de l’or. Pour toute réponse, Syméon adressa à son ‘‘bienfaiteur’’ une nouvelle lettre de remerciements.

Ayant trouvé un oratoire en ruine dédié à sainte Marine (cf. 17 juil.), il y célébrait avec ponctualité les offices monastiques et s’y adonnait paisiblement à la prière. Mais pendant ce temps, les disciples et admirateurs du saint dans la noblesse, intercédèrent en sa faveur auprès du patriarche et, après une nouvelle comparution devant le Synode, pendant laquelle Syméon se refusa à faire aucune concession en ce qui concernait le culte de son père spirituel, le pontife le renvoya en paix, en disant: « A coup sûr, tu es un vrai studite, plein d’amour pour ton père spirituel; mais tu as aussi leur obstination et peut-être est-elle digne d’éloge ».

De retour à Sainte-Marine pour s’y consacrer à la sainte quiétude, il reçut quantité de dons qui lui permirent, malgré les embûches suscitées par les démons, de transformer l’endroit en un monastère qui attirait tous les chrétiens zélés de la capitale lorsqu’il y célébrait avec faste la fête de saint Syméon le Pieux(*). Sous l’inspiration de l’Esprit, il y poursuivait la composition de ses hymnes et rédigea des apologies pour enseigner que ni pardon des péchés, ni sanctification, ne peuvent être accordés sans la venue consciente en nous de la grâce du Saint-Esprit. Cette grâce ne le transportait pas seulement en de sublimes ravissements, mais elle accomplissait aussi quantité de miracles pour le soulagement de ses disciples et la consolation de ses visiteurs.

Parvenu à un grand âge, il fut atteint d’une longue et douloureuse maladie des entrailles qui le tenait immobilisé sur sa couche. Malgré cette infirmité, un de ses disciples le vit un jour soulevé de terre et entouré d’une lumière indescriptible pendant qu’il était en prière. Au terme de ses combats, il obtint la délivrance qu’il désirait et rejoignit le chœur des saints, le 12 mars 1022, en ayant prédit exactement la date de son décès et celle du transfert de ses reliques, trente ans plus tard.

Après avoir glorifié Dieu en lui-même pendant sa vie, saint Syméon fut glorifié par Lui après sa mort, par de nombreux miracles, mais plus encore par les délices spirituels que procurent jusqu’à nos jours ses écrits à tous ceux qui ont soif du Dieu vivant.

 

* Saint Syméon Studite appelé aussi Syméon le Pieux n’étant pas canonisé, aucune source officielle mentionne la date de sa mémoire (ndlr).
1. Comme sa mémoire (12 mars), tombe pendant le Grand Carême, sa célébration a été reportée au 12 octobre par l’auteur de son admirable office liturgique, saint Nicodème l’Hagiorite (cf. 14 juil.). La quasi totalité des œuvres de saint Syméon a été traduite en français dans la collection « Sources chrétiennes ». On pourra consulter aussi utilement l’excellent livre de Mgr Krivochéine, Dans la lumière du Christ, Chevetogne, 1980.
2.C’est-à-dire, non pas celui qui fait profession de l’étude scientifique des dogmes, mais celui qui a reçu la connaissance de Dieu, par une expérience vécue et la transmet à l’Eglise comme une source d’eaux vives.
3. Sur la Loi spirituelle, 69.
4. Son biographe, Nicétas Stéthanos, présente une autre version de ces faits relatés par Syméon lui-même, et affirme qu’il entra directement au monastère, sans passer par cette période de relâchement.
5. Deuxième Action de Grâces (SC 113, 330-357).
6. La sanction officielle pour le culte d’un saint ne commença à s’imposer qu’à partir du XIVème siècle. Et même jusqu’à nos jours, celle-ci suppose un culte populaire préalable que l’autorité ecclésiastique vient simplement confirmer.

 

 

Troparion t.3

 

Ayant reçu la divine illumination * en ton âme, Syméon, tu devins un luminaire étincelant * pour le monde, dont tu dissipas la sombre nuit, * car à tous les hommes tu conseillas de chercher * comme drachme perdue, la grâce de l'Esprit. * Père saint, avec ardeur supplie-le * de nous accorder sa bienveillante faveur.

 

 

Kondakion t.3

 

Eclairé par la lumière du triple Soleil, * tu devins, Père aux divines pensées, * le Théologien de la Trinité, suprême de Dieu, * toi qui, du ciel ayant reçu comme un trésor * la sagesse divine, l'as fait jaillir par les flots de tes discours; * et, nous y désaltérant, nous chantons: * Réjouis-toi, bienheureux et vénérable Syméon.

 

 

 

 
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