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13 decembre
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Josse, ermite en Ponthieu

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Josse (1) ou Jodice roi de Bretagne, ermite en Ponthieu

 

 

Josse, ayant été appelé à succéder à son frère Judicaël (cf. 17 déc.), dans ses Etats de Bretagne, parce que ce prince, s’ennuyant des embarras du gouvernement, avait résolu de rentrer dans le cloître qu’il avait quitté pour monter sur le trône de son père, demanda huit jours comme pour délibérer sur la proposition de son frère. Mais il ne se servit de ce délai que pour fuir les honneurs dont il voulait se décharger sur lui; ce qu’il exécuta en se joignant à quelques pèlerins qui allaient à Rome, et qu’il vit comme ils passaient devant la porte du monastère de Saint-Maëlmon, où il se trouvait à ce moment. Ces pèlerins l’admirent volontiers dans leur compagnie et l’emmenèrent avec eux.

Saint Josse (qui était aussi le frère de Saint Winoc , mémoire le 6 nov.), ayant ainsi renoncé à la royauté pour s’attacher au service du Seigneur, se rendit à Chartres avec ses onze compagnons, et de là les suivit à Paris, capitale de la monarchie française, où il séjourna quelque temps avec eux(2). De Paris, les compagnons de saint Josse, au lieu de se mettre en chemin pour Rome, où ils avaient d’abord l’intention d’aller, prirent une route contraire, et se rendirent à la ville d’Amiens en Picardie. Le saint prince les suivait toujours, car il n’avait aucun dessein particulier, et n’aspirait qu’à servir Dieu de tout son cœur en quelque lieu que ce pût être, pourvu qu’il y fût inconnu. Sortis d’Amiens, les pèlerins s’avancèrent jusqu’à la rivière d’Authie, la passèrent, et arrivèrent dans un lieu nommé Villa Sancti Petri, où demeurait ordinairement le duc ou comte du pays de Ponthieu, qui s’appelait Haymon, et qui était un seigneur de grande vertu. Il reçut les douze pèlerins, et les traita pendant trois jours avec beaucoup de charité.

Il distingua facilement notre Saint, parce qu’il portait sur son visage un air de grandeur que les autres n’avaient point, et que ses actions et ses paroles se sentaient de la splendeur de sa naissance et de l’éducation royale qu’il avait reçue; d’ailleurs, il avait une modestie et une douceur angéliques, lesquelles, jointes au port majestueux que la nature lui avait donné, le rendaient parfaitement aimable et lui conciliaient l’estime et le respect de tous ceux qui le regardaient. Ce prince le pria donc de ne point le quitter, et, ayant obtenu de lui cette faveur, il laissa les onze autres pèlerins continuer leur voyage. Il donna à Josse un appartement dans son palais, lui fit recevoir les Ordres sacrés, et le nomma prêtre de sa chapelle. Puis, pour lui témoigner davantage l’estime qu’il avait de sa vertu, il l’obligea de tenir sur les fonts de baptême un de ses fils qu’il nomma Ursin, en mémoire de saint Ursin (cf. 9 nov.), archevêque de Bourges.

Ce n’était guère l’inclinaison de saint Josse de demeurer dans cette cour; car, quoique sainte et très bien réglée, elle ne laissait pas de le dissiper; aussi, après y avoir passé sept ans, il supplia Haymon de lui permettre de se retirer dans une solitude où il put s’occuper plus tranquillement dans la contemplation des vérités éternelles. Non seulement le duc ne s’y opposa pas; mais voulant favoriser de tout son pouvoir le désir d’un si saint prêtre, il le conduisit dans un lieu désert, sur la rivière d’Authie, que les anciens appelaient Brahic et nommé présentement Raye, où il lui donna une place suffisante pour bâtir un oratoire et un ermitage.

Le bâtiment étant achevé, Josse s’y enferma avec un seul disciple qui l’avait suivi de Bretagne, nommé Wurmar ou Wulmar, et commença d’y mener une vie toute céleste, n’ayant d’autre occupation que de célébrer les saints Mystères, de chanter les louanges de Dieu, de méditer les paroles de l’Evangile et de converser avec les anges et les saints. Sa conduite et son innocence parurent bientôt par des miracles; car on dit que les oiseaux et les poissons se familiarisaient avec lui, comme ils eussent fait avec Adam dans le paradis terrestre, et qu’ils venaient prendre leur nourriture de sa main avec la même confiance que les poussins la prennent du bec de leurs mères.

Il était aussi extrêmement miséricordieux envers les pauvres, et il ne pouvait leur refuser l’aumône, tant qu’il y avait un morceau de pain dans sa cellule. Un jour qu’il était en oraison dans sa chapelle, il entendit la voix d’un pauvre qui demandait la charité. Il s’informa de son disciple s’il avait encore quelque provision : « Je n’ai plus », lui dit-il, « qu’un pain qui ne peut servir que pour notre nourriture d’aujourd’hui ». – « Allez », lui répliqua Josse, « coupez-le en morceaux et donnez-en le quart à ce malheureux ». A peine l’eut-il fait, qu’il vint un autre pauvre exposer encore sa misère et demander de quoi soulager sa faim. Le Saint ne voulut pas non plus l’éconduire; il dit à Wurmar de prendre un autre quart de ce pain et de le lui porter. Celui-ci n’obéit à ce nouvel ordre qu’en murmurant, craignant de n’avoir pas de quoi nourrir son maître et de se nourrir lui-même. Cependant un troisième pauvre, aussi nécessiteux que les deux précédents, arriva peu de temps après. Josse le vit, et, sans presque attendre qu’il ouvrit la bouche, il ordonna à Wurmar de lui donner un des deux morceaux qui restaient : « De quoi donc voulez-vous que nous vivions », répliqua le disciple; « est-ce qu’il faut que nous mourions de faim pour nourrir ces pauvres qui peuvent aller mendier ailleurs ? » – «Ne vous troublez pas, mon enfant », lui dit le Saint, «  faites seulement ce que je vous commande, et Dieu aura soin de nous ». Dès qu’il eut obéi, et que ce pauvre se fut retiré, on entendit un quatrième sonner à la porte et demander l’aumône avec encore plus d’instance et d’importunité que les précédents. Que fera Josse ? Le morceau qui lui reste est trop petit pour être partagé entre lui, son disciple et ce pauvre; le donnera-t-il tout entier ? Il n’aura donc plus rien pour subsister, et il faudra qu’il passe le jour et la nuit suivante sans nourriture. Le retiendra-t-il ? La charité l’emporta encore alors sur sa propre nécessité: et, ne pouvant laisser aller ce mendiant sans assistance, il lui fit donner le reste du pain. Wurmar renouvela ses plaintes, mais il lui fit encore trouver bonne cette disposition, et elle fut bientôt suivie d’une ample récompense; car, incontinent après, la divine Providence fit arriver au bord de leur ermitage, quatre barques (sans capitaines ou timoniers) chargées de toutes les choses nécessaires à la vie. Cela fait croire que les quatre pauvres qui s’étaient présentés successivement à Josse étaient Jésus Christ même, qui avait pris ces formes différentes pour éprouver la charité de son serviteur (3).

Il demeura huit ans dans cette solitude; mais, se voyant extraordinairement tourmenté par les démons qui lui dressaient sans cesse des embûches, il résolut enfin de se retirer ailleurs. Il témoigna son dessein au duc Haymon, qui le visitait quelquefois, et ayant obtenu de lui un autre lieu, nommé Runiac ou Rimac, sur la petite rivière de Canche; il y bâtit un oratoire en l’honneur de saint Martin (cf. 11 nov.), et y passa treize autres années(4).

Cependant, le malin esprit ne cessant point de le poursuivre, il eut encore recours à ce bon duc pour avoir une autre retraite : « Allons ensemble », lui dit Haymon, « et nous vous chercherons un lieu qui vous soit propre ». Dans ce voyage, saint Josse fit sourdre une fontaine dans un lieu sec, en enfonçant son bâton en terre, pour soulager la soif de son bienfaiteur. Cette fontaine a, depuis, donné des eaux en abondance et servi à la guérison de plusieurs malades.

Le lieu qu’ils choisirent pour ce nouvel ermitage fut dans une épaisse forêt, entre Etaples et Montreuil, dans un endroit situé entre la rivière d’Authie et celle de la Canche. Il leur parut fort commode en ce qu’il était arrosé d’un ruisseau provenant de deux fontaines, dont l’une est nommée la fontaine des Bretons, et l’autre, la fontaine du Gard. Le duc le fit défricher, et le Saint y construisit aussitôt, de ses propres mains, et avec du bois seulement, deux oratoires : l’un en l’honneur de saint Pierre, prince des Apôtres, l’autre en l’honneur de saint Paul, docteur des Gentils (cf. 29 juin).

Quelque temps après, il voulut faire le pèlerinage de Rome, pour y visiter les tombeaux des saints Apôtres et en apporter des reliques. En ayant obtenu le consentement du duc, il fit tout ce voyage à pied, le bâton à la main et en demandant l’aumône. Le pape le reçut fort honorablement, lui donna sa bénédiction apostolique et l’enrichit de plusieurs reliques de martyrs.

A son retour, comme il se trouvait sur la colline de Bavémont, éloignée d’une lieue de son ermitage, une jeune fille nommée Juyule, aveugle de naissance, eut la révélation qu’elle obtiendrait la vue si elle se lavait avec de l’eau dont le saint prêtre se serait lavé les mains. Elle demeurait avec son père au château d’Airon, qui n’est éloigné de Saint-Josse que d’une demi-lieue. Elle lui en parla, et son père, ne voulant point négliger une occasion si avantageuse, la conduisit aussitôt sur la montagne où le Saint était arrivé. La fille prit l’eau qui lui avait servi, elle s’en lava le visage, et, par ce remède, elle obtint à l’heure même, de très beaux yeux avec l’usage de la vue. Les habitants du lieu firent mettre une croix à l’endroit où cet insigne miracle avait été fait, et pour cela on l’a toujours appelé la Croix, jusqu’à ce que ce monument commémoratif ait été transporté ailleurs(5).

Dès que le duc Haymon sut le retour du serviteur de Dieu, il fut au-devant de lui et le reçut avec de nouveaux témoignages de respect et d’amitié. Il avait fait bâtir en son absence, auprès de sa cellule, une église de pierre, sous l’invocation de saint Martin. Elle fut bénite, et saint Josse y déposa les reliques qu’il avait apportées de Rome. La cérémonie de cette translation se fit le 11 juin; et, pendant qu’il célébrait la messe, en présence du même duc et d’un grand nombre de seigneurs et de peuple, une main céleste parut visiblement sur l’autel, bénissant le saint Calice et les Oblations, et l’on entendit en même temps une voix qui lui disait : « Parce que vous avez méprisé les richesses de la terre et refusé le royaume de votre père, pour mener en cette solitude une vie pauvre, cachée et éloignée de la demeure des pécheurs, je vous ai préparé une couronne immortelle en la compagnie des Anges. Je serai le gardien et le défenseur perpétuel de ce lieu; vous y mourrez, et ceux qui vous invoqueront avec révérence, y recevront l’effet de leurs demandes ». En effet, le Saint y passa le reste de ses jours d’une manière plus angélique qu’humaine, et il mourut le 13 décembre 669.

Son corps virginal fut enseveli dans son propre ermitage; mais on ne le couvrit ni de terre ni de pierre, parce qu’il n’avait aucune marque de corruption, et qu’au contraire les cheveux, la barbe et les ongles lui poussaient comme s’il eût encore été en vie; de sorte que Winoc et Arnoc, ses neveux (ou ses frères ?), qui lui succédèrent dans la possession de sa cellule, et avaient la clef de son cercueil, étaient obligés de les lui couper de temps en temps, comme on fait à un homme vivant.

Le plus ordinairement, on représente saint Josse en habit de pèlerin, un bourdon à la main et deux clés croisées sur son chapeau, pour indiquer son voyage à Rome. Le sceptre et la couronne qui gisent à ses pieds, rappelent la royauté qu’il a refusée. Parfois il porte suspendu à une écharpe, l’escarcelle des reliques que lui donna le pape. Ce détail, mal compris par quelques peintres, a été plus d’une fois défiguré : l’écharpe s’est changée en baudrier, et la cassette en aumônière. On le représente aussi, faisant jaillir une source avec son bâton, ou bien, partageant son pain avec un pauvre. C’est à tort qu’on lui donne parfois une mitre, puisqu’il ne fut jamais abbé.

Dans l’église de Saint-Josse-sur-Mer, récemment construite, on voit, outre un vitrail moderne, une statue du Patron, haute de deux mètres. Le prince breton, en habit royal, foule aux pieds la couronne et le sceptre.

Il y a aussi des statues du saint ermite dans les églises de Tortefontaine, de Mouriez (1836), de Saint-Josse-au-Val à Montreuil, et dans la chapelle de Saint-Josse-au-Bois (1861).

Une ancienne image de saint Josse, qu’on distribuait jadis aux pèlerins, nous le montre revenant de Rome, sur la colline de Bavémont, avec un coffret de reliques suspendu par une écharpe. On voit dans le lointain l’abbaye qui doit illustrer cette contrée.

M. Guénebault, dans son Dictionnaire iconographique, indique les gravures suivantes : 1° Saint Josse à genoux devant l’autel et embrassant un crucifix d’où sortent trois branches de lis, une de la partie supérieure et les deux autres des bras : des anges lui apportent la couronne du triomphe ; 2° le même, refusant la couronne que lui présente son frère ; 3° le même, tenant un crucifix.

Culte et reliques :
Le culte de saint Josse était déjà si célèbre au XIème siècle, que des pèlerins se rendaient à son sanctuaire de toutes les contrées de la France et même des pays étrangers. Quelques historiens prétendent que Charlemagne y alla en 793 et que ce fut alors qu’il conçut le projet de reconstruire une hôtellerie monastique dont il devait donner l’administration à Alcuin. Il existait dès lors de nombreuses Confréries de Saint-Josse, répandues en France et en Allemagne.

Le village de Parnes (Oise), qui croit posséder des reliques de saint Josse, rend à son patron un culte spécial. Le 13 décembre, on distribue aux paroissiens de petits pains bénits, en souvenir de celui qui fut partagé entre quatre pauvres dans l’ermitage de Brahic.

Saint Josse est le patron de Béhen, dans le doyenné de Moyenneville. Il l’était jadis des deux abbayes qui portaient son nom : de Saint-Josse-au-Val et d’une ancienne chapelle castrale à Montreuil ; de la paroisse Saint-Josse à Paris.

D’après les croyances populaires, le saint ermite serait le fondateur d’un certain nombre de paroisses des environs de Dommartin et d’un monastère dont on montre encore quelques vestiges à Mayocque. Nous ignorons pour quel motif saint Josse est honoré à Javarin (Autriche) et à Ravensburg (Wurtemberg).

Une commune de l’arrondissement de Dinan porte le nom de Saint-Judoce. Saint-Josse est le nom d’une rue à Hesmond et à Dompierre et d’un faubourg de Bruxelles.

Le nom du saint ermite est inscrit au 13 décembre dans le martyrologe romain, dans quelques martyrologes amplifiés de celui d’Usuard, dans ceux de Bède, de Wandalbert ; ce qui prouve que, au IXème siècle, comme de nos jours, on invoquait notre Saint pendant les tempêtes. Son nom figure aussi dans les litanies amiénoises du XIIIème siècle.

On célébrait jadis, à l’abbaye de Saint-Josse-sur-Mer, cinq fêtes du patron : le 11 juin, apparition de la main miraculeuse (665). On célèbre encore aujourd’hui cette fête à Saint-Josse-sur-Mer, où on la désigne sous le nom de Saint-Barnabé (cf. 11 juin), à cause de la coïncidence de la fête de cet Apôtre ; – le 25 juillet, invention du corps de saint Josse (977) ; – le mardi de la Pentecôte, procession à Bavémont (La Croix) ; – le 25 octobre, translation des reliques (1195) ; elle est marquée à tort le 9 janvier dans le Martyrologe anglican ; – le 13 décembre, déposition de saint Josse ; elle est mentionnée à tort au 4 août dans quelques anciens calendriers.

Le jour de leur fête patronale, les habitants du village de Saint-Josse devaient donner au comte de Ponthieu, une vache écorchée; quand la fête tombait un jour maigre, cette redevance était changée en un cent d’œufs et une livre de poivre.

La fête de saint Josse est marquée au 25 juillet dans le bréviaire amiénois de 1528 ; au 2 décembre, dans ceux de 1746 et 1840 ; au 13 décembre, dans ceux de Paris et de Beauvais, et dans le propre actuel d’Arras ; au 14, dans celui de Saint-Valéry ; au 18, dans celui de saint-Riquier.

 

1. Alias : Judoc, Jodoc, Judocq, Jodec, Jouven, Judgoenoe, Judganoc, Jodoce, Joce, Jost, Judocus, Jodocus, Judocius.
2. On dit que la maison où ils demeurèrent, changée depuis en église, est celle qui a porté jusqu’à la Révolution, le nom de Saint-Josse, et était une des paroisses de cette ville, occupée pendant quelque temps, au commencement du XVIIIème siècle, par des missionnaires de la congrégation du P. Eudes. Cette église, située dans la rue Aubry-le-Boucher, est aujourd’hui détruite.
3. C’est en mémoire de cet événement miraculeux que l’abbaye de Saint-Josse-au-Bois, devait un jour mettre trois barques d’or dans ses armoiries.
4. C’est où l’on voit à présent la ville de Saint-Josse, près de l’embouchure de la Canche, et où Milon, évêque de Thérouanne, fit depuis bâtir un monastère, dont il ne reste depuis longtemps aucun vestige.
5. Cette croix fut transportée près de l’abbaye de Saint-Josse-sur-Mer, où le monastère, bâti plus tard, porta le nom de Monastère de la Croix, et finit par s’appeler abbaye de Saint-Josse. Quant au lieu où était primitivement la croix, il reprit le nom de Bavémout qu’il avait auparavant.

Source : Les Petits Bollandistes — Vies des saints — Tome 14.

Le pèlerinage Saint-Josse, de la Paroisse-Monastère de Pervijze, a eu lieu le 5 septembre 2004. Un second pèlerinage a été organisé le 20 mai 2013.

 

 

 

Troparion t.8

 

En toi, vénérable père, la divine image se reflète exactement ; * afin de Lui ressembler, tu as pris ta croix et tu as suivi le Christ, * et par ta vie tu nous apprends à mépriser la chair, qui passe et disparaît, * pour s’occuper plutôt de l’âme, qui vit jusqu’en la mort et par-delà, * c’est ainsi que ton esprit se réjouit, ** saint Josse, avec lea anges dans le ciel.

 

 

Kondakion t.2

 

Armé divinement de spirituelle pureté * et tenant en main fortement * comme lance l’incessante oraison, * tu as transpercé les diaboliques escadrons ; * vénérable Josse, père saint, ** prie sans cesse le Christ en faveur de nous tous.

 

 

 

 
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